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L'Estafette Du Kansas from Leavenworth, Kansas • 2

Location:
Leavenworth, Kansas
Issue Date:
Page:
2
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I L'ESTAFETTE 1U KANSAS cntravcnt remparta do la" civilisation, Scipion, la menace, si die ne se montre paa Quelle- difference entre ce langage" fcouffi, i 'une, certain; valeur. Entr'eutret, M. Vfm. iqu'elles tentent do lea escolader, c'est d- plus aumoniere, de ne point lai laisser os, tgohto, fang coeur, et ce cri qua jette le Stanley gngtf une brocheetime paire de choir de ea grandeur, de eon rang c'est ab- neouidem ossa. 1 grand exil de Guernesey, arrive au terie de boucles d'oreillei d'une valeur reelle de 10 diquer ea mission.

Voici la lettre qu'il a airesseo un ce livre, qui est un cte, A'apokon-k-etU M. J. Clark, nut montre en or volant 1125. Westl poite qui luiavaitddes vera ogieox uJm 0 plai. trouves places les Etats-Ums vis-i-vis des Monsieur, cnEht ce nW Qu Wre eu Comme ils ae con.

3" brotneel une wure peupladLqui, sur le vaate sol de 1'lJnion, 1 fJAS arrl atent 1 essor de l'industne, da commerce, JJJ JffiJt ITiSE If et la mime prescription, meme pa. savoir ce qui MM. Stanley et Clark de ragnculture, et paralysaient les efforts tion ils iont relus. ae racontent leurs miserea. Celuiaui a de ont fait de leurs joyaux cela ne wu regarde d'une nation en plem enfantement de ea puis- On jouit d'aroir des ZoXles, qua i Zollei 1 ardent le partage avec ceux qui n'en out paa paa quant i nous, cheres lectrkes, nous en 8ance.

La responsabilite du gouvernement vous suscitent depawnJi nrerrr-- Ci celui qui a de la fermet en donne a ceux qui avons fait (chut n'en dites rien i americain tait gravement cngagee, et la Ue iff Cj YES en manquent. On fchange les souvenirs, les persrtine, au moins, car ceci est un secret entre politique qu'il a da mettre en pratique centre 2 SoudraS iffS. 'iJl. fail? prances. On se tourne, Us noua en avons fait hommage 4 notre les Indiena a une politique de rigueur et En ce moment mlcs aoocoabe $om Ieor aaf onire ce qu on a wisse tend re rookie, tout en nous faisant cette judu.

litinn Am mtlwiiillft" Am mlV- iAm I emere 801. Ju I QU US SOieM neureilX la-Das, mu riU. aim 'extermination. Elle etait neesaire. ceux qui ne pensent plus a nous Chacun souf- pauvres cultivatcr- thj i fre et par moments On grave dans i leer leur 'rite- aol, comma le pi a eh, mine et leur diaperuLcxique jo chera nir par le travail.

toutes les memoires les noms de.tous les bour- Toute brancho de l'espece. humaine est digne qu'on lexamine de pres avant -de la condamner defiaitivement: C'est 1 re a la main au'on peut etudier les cau. la Ce n'Mt pai eela qui nooa emrchera U'elre benrenx en menege I lit ITXlnet d'Or da Kansai. reaux. Chacun a quelque chose qu'il maud it, Mazas, le ponton, la casemate, l'tleuonciateur Je livre mes biens a mes ereanciers.

lntfa oncnrA pntrA In. rn.fl hlfc.riA yei remarcie, Monsieur, d'aroir en et d'aroir i exnrim en de beam dM 4U exprime en de beaux vede, 1" r.1 ZTrZrZ tT, Vrit admirablent M. le iuee Bier. oui vient d'arrirer do All a avtA Vk Anon 1 a I ceux de mes enienuli I uu aj- VT avlr enne ou l'on a un rere mais il a une chose ouncil-lirove, nous a apport d'excellentes i ii i .1 1 ,1 ri 1 ant 1 nlna fir. Mri VxiKyiratinn hinvU inn, fit UHau'i a siit toim.

c'fist loi. Frannfi uuuyeiieo ue dub xciriuim uni.cru. les iouissances les plus positives, les condi- qMWHwion dea belles "Oh! une plainte.un mot contretoi, France! -Irois jcunes gens, djt-il, sont dernitre-j i. in- ia, Voaa pardonne dans le ciel et aimewnr la Non. non.

on n'a iarriais plus de patrie dans le rement arrives Council-Grove, venant de 1p. rla ronformes au but one Vhomm coeur que lorsqu'on est saisi par l'exil. Pike'sPeak. LBn d'eux, nornm Young, a hoe i Mnn mi En voici une autre, crite en renonse a an I Us feront leur devoir entier avec un front montre pour 3d5 de poudre d'or qu'il a ob i I article publie dans un journal beige par M. tranquille et une perseverance tenue seal et avec de mauvais inatrumeuts do TZIL certains cas.

nne Thiloxene Boyer revoir 'est leur triatease; nepaa travail. affirme avoir fait jusqu'i $11 par Ne nas te revoir. c'est leur triatesse ne Das t'oubher, c'est li leur joie V. II ceo. jour.

Ues trois jeunes gens sont en route J. Ui lilt 3 DVUO atUUVHO Pv UiwUiLvovv I I T. VI 1 Nous n'ajouterons rien do si belles pa roles. Quelle comparaison ecrasante pour Leavenworth, ou lis vienncnt chercher des provisions et des instruments propices travail des mines. lis vont s'en retourner immediatement A Pike's Peak.

progres qui est incontestableat; le lot COnnu mK adrewTe. divine a laquelle ll faut bien obeirr Le Il'fist De tout ce qui a 6t6 crit sur la France et sur pas nous qui le disons en maniere torie, moi, depuis que ces revers immerites (sachex-le et co sont les faits consign dans les, f- m'ont fraPPe, rotre article i. jj i- est le mot le plus vrai.le plus plus elo- da moftde qur le demontrent. AaiSSl AV quent gi pu enJre pae'francbenent quete, meme des grands empires le pin oh-1 moi-mme, c'est ainsi que mon coeur, charee de tyjn de nos compatriotes, M. Frank Bride, ancien officier de police Chicago, vient Ces renseignements ne font que confirmer ceux que nous avons recus jusqu'i present etre rWmrae au meme emptoi a Leaven et il n'est plus perm is de douter aajourd'hui worth.

II est entre en onctions au commen uement COnstituS, n'a-t-elle jamais SUt I reproches, aurait fait explosion. Mais, commo le tu6 le mal au bien. Elle a du auelquefois h011 ini n'ft boache J6 devoremapropre cement de ce mois. qu' existe de grandes quantites d'or au pied les Montacnes-Rocheuses. de tJenesavais Das au'un homme dont ie connais- S'il se trouve pourtant des incrdulei, Dans sa seance de vendredi dernier, le sais le nom et le talent etait un ami pour moi; qu'il mecompte a jamais au noubre Conseil Municipal de Leavenworth a design nous pouvons leur repondre par le fait sui-vant, qui vient de se passer sou3 nos yeux Hier vendredi, MM.

Hemingray Cie.t 'truire un etat de choses plus avance qut 'condition eociale des conqueranta mais ce cas, l'lement de force du vaincu a so nage et a domine le vainqueur lui-mmev i Si la race indienne avait ej de son cv l'avantage de 1, puissance morale, comme ucBoicuo. i xtSiqreiiemii jianaas ci 10 ieavenwunn Jtn'ii nn'nn minnt anm Tpnn mi fmr I hv 1 1 ituune itous aeux puDues par ji. xranx rraisemblablement mes unebres adieux a mon -n i i i banquiers a Leavenworth, ont fait un envoi foyer natel et le demeubler avant de le Uvrer a vj ronaideraMfl nondre d'or Drovenant de l'encan. Si d'ici trois mois la France ne repond dite cit, et devant pubher, l'un en francais, TPt a or P61111111 elle a eu longtemps celul de la force nujnen que, ello eut absorb la race blanche, L'Jt en i appel, ie quitterai son sol pour n'y pas I l'autre en allemand, tous les actes, lois, or- 1 ef a f1: nncan uuuvuvv mm vr l. i Ti- I Mais les Indiens nierent leprc-fres, dont Enfin, il renouvelle cette meme menace, Voitt un acte de justice que nous nous S6 V1.9 Mf "emmgray tie.

font de- uls n'avaient pas l'instinct le progres dut empreinte d'une vanite puerile et ridicule, plaisons a reconnaitre, et qui prouve que le Pu' un "s1fbernarlaconauete. Ilsnierentletra- dans une autre lettre ecrite i M. Besse, qui, Conseil Municipal s'est enfin anercu aue Voila du positif. Quo ceux qui veulent do -i i i i aZu. uius ampies renseicnements ui- vau, U3 lUrCirx.

IBS JJieniailS une religion iui luisaub uiwscr ict suuguiiiuuus uo ia uuuo jjujjuiuuu ub lituguc j.iuuyuise uiciiic tt i '1 de paix, Hs nierent toute la civilisation. ville d'Uzerch, l'avait prie de consacrer a bien la peine qu'on prenne gardo et qu'on rectcment a M. Hemingray, et comme nuiVnUiMtionK vpIIU 'ntfa lVrrni Aa nntra n. pane et ecrit parfaitement le iransais, nos lation de langue allemande. compatriotes peuvent communiquer avoo iui Nous n'en sommei pas encore anantir l'autre NonJIt quelle confiance -iana-noua dans tl Vn- 'est qono au nom ae.

notre population i ''i" "'u-''1" i encore anx acteurs. a i jua-ines qui rclent nos'societea, si f'etalt la1 pour les rranas ei Dons ooeurs qui rassoeient a cet acte 4c bonne et same administration. PyH uo Dyieu oar Allons. Mftfisienrs da Conspil. vmis taw grand nombre une forte at; race blanche qui eut succomb dans cette lutte (ibeille.) en beau Donnez vite un bon coup traction.

semblc qu'un mirage, phenomeno d'eponge sur la Loi du Ihmanche, qui n'a trompeur, ie xasso apparaure ue ivui cumme aucune raison d'etre dans notre naisible cit6. un pays de vie facile, ou le bien-etre s'ac- M. DE LAMARTINE. ma mauvaise fortune pon deprevenir mon expulsion du toit paternel. Je crains' bien, si la souscription ne prend pas plus d'ame, que le nom-bre de ces grands coeurs ne soit insuffisant mais s'il en a rait dixmilleseulement comme levfitre, t'evirraig pour les benir et les aimer.

II a 14-iaut un ceil qui voit, une main qui enregistre les sacrifices tels que ceux de mon ami inconnu d'Uzerch. Quant a moi, j'inscris son nom parmi les noms de la famille intellectuelle. Lamaktink. Alors tout le monde sera a peii pres content, quiert sans efforts, ou la misere existe pas. et vous n'en irez pas moins en paradis, si ous savons ce qu'il en est, et pour prevenir, On l'a deja dit, mais voici qu'il faut mal-heureusement le redire, M.

de Lamartime ccrit trop, pour sa gloire. On sait que der- l. Ai a i antont mi'ii rBT fn noiiH. ill' iiiiuiiiurux. ill c- sur la conscience.

comptes, nous mettons sous les yeux de nos lecteurs un fait que nous trouvons dans un Nous avons assist, lundi dernier, au tirage journal de la Nouvelle-Orleans, le Courrier journalier de la Lotene de M. Purley, horloger du Zi novemDre nierement les amis de cet homme, nagueres notre orgueil et notre joie, ont ouvert a son profit une souscription nationale. La France, parait-il, n'a pas repondu avec un enthou-eiasme sufiisant au nouvel appel larmoyant du poete. Aussi cet. enfant gate, nouveau Saint-Point, pre Maoon, 30 septembre, 1858.

P. S. Je suis ici pour quelques jours seule-ment. coupant des arbres, rognant des champs et me prlparant a l'exil sans retour, si la France res-te ce qu'elle est 4 mon egard. Mais en quelque lieu que j'aille planter ma tente erranto, votre nom en sera Pun des piliers.

et bijoutier, Delaware street, entre beconde et Un Allemand nomme A. Sclb, age" d'environ Main, et nous avons eu la chance de voir trente-six ans, a ete trouve mort. hier, dans uno gagner, en quelques minutes, piusieura lots I maison de la rue feaiuv-rnuippo. i.eue maison est que la jeune fille, hier l'anniversaire de de ses joies quotidiennes qu'apres les avoirjelle ne negligea aucurie occasion de faire res-perdues. Trop orgueilleux pour raterniser aveefcsortir devant elle toutes les qualites'du jeune rentree de Manette a la maison.

Chaque anne a cette epoque, elle me fait un petit cadeau ses camarades, trop ignorant pour nouer amitii homme. On comprend le peu d'lmpression que de Ce matin, en me reveillant, j'ai trouv4 jol bouquet dans mon verre. Je l'ai empor5 et i m'a porte bonheur nous avons de lWvrage vaient prouuire sur son coeur les dispOurs apolo-getiques de la rdfre d'Ernest. Celle-'ci s'en aper-cut, mais elle se ffarda bien d'en parler a son pour trois mois Et voili comment Manette devint fleuriste, autant dans ses mauvais moments il perd la tete. Je voudrais done eViter les malheursTTqui peuvent arriver, et j'ai compt sur toi pour m'ai-der dans mon entreprise.

Et vous avex bien fait, mere, repondit vi-vement Manette. Comment puis-je vous aider? Voici, mire: j'ai trouve un moyen certain de le faire revenir ici. Reste a savoir si mon moyen sera de ton goflt. Probablement, mere, puisqu'il est du votre. Attends.continua la femme du peintre; sais-tu pourquoi il est venu s'etablir 4 cote de nous! Non, mere.

Eh bien! Manette, c'est parce qu'il est amoureux de toi De moi! s'ecria la ieune dont le A partir de ce moment, le produit du travail ills. Loin de 14, elleessaya de le detourner de la pensie d'epouserta jeune fille, lui montrant autour de-lui vingt partis qui se presentaient avec ces jeunes gens plus instruits que lui, il vivait dans cette soci6ti hiteoclite qu'on rencontre dans les estaminets de faubourg, per-dant en un soiree, a l'ecart ou au piquet, avec des Itudiants de douzieme annee, le fruit du travail de toute la semaine. Rentre chez lui, dans sa chambre solitaire, la tete et le coeur Vide, mecontent de ceux avec lesquels il avait pass la soiree, parce qu'il tait mecontent de lui-meme n'ayant rien ap-pris, rien eprouveY ii s'endormah chaque soir, en regardant, ft travers le? brumes d'une conscience troublee, le clel bleu de la maison natale, tie Manette compensa et au-dela ses depense la maison. Les plus clebrcs marchands di fleurs de la rue Saint-Denis et de la rue Riche- lier lui donnerent tant d'ouvrage, qu'elle fut bientot obligee de prendre dea ourriims et qu'elle organisa un atelier. Oest sur cet atelieoj qui eiau eu menw ieni)s la cnamDre a coucqer tous plus bnllants les uns que les autres.

Mais, soit qup le jeune homme uf sous le coup d'One passion veritable, soit qu'il eut nn violent depit de sentir instinctivement que son fere par la jeune fille, il ne voulut pas demordre de son projet. II repoussa done toutes les offres de sa mere, et jura que Manette lui appartien-drait ou qu'elle n'appartiendrait 4 nul autre. Ce nul autre, e'etait son frere. -Mais c'tait son habitude, 4 ce ain6, de cder au jeune homme tout ce qui lui appar-teriait. Depuis leur enfance, il avait ete sa victi- de la teune nlle, que le mere, en se rendant dont son brave pere i tait le i et sa soeur A 4 1 1 joues devinrent blanches de moi rfpeta t-ell liici buu jcouo ma, avail jeie les yeux.

j. La vraie raison qui avait decide Clo 4 9 saner. instemem en songeani a xuanuueu. Sans doute, dit la mere du jeune homme, 'adoption l'etoile. Son sommeil tait fieVreux, son Les jours qui suivalent ces nuits ii d'inquitud Une nuit, sa sceur Jni ar5nil, reau a s'etablir dans le visinage le son pere n'tajt pas celle que le pire soupcopnait.

En 3 ui ne parut pas remarquer remotion de sa fille 'adoption. Comment ne t'en es-tu pas aper- enet, ce etait pas tant contre son pere quy cue i est amou aux af oepuis pius a une uuiure iua irere que jouae Bomme avail ce et de douceur, toute r) colombe de l'arche, me c'est le propre des forts dtre misricor dieux pour les faibles7meme quand ils sont in Toulu agir. annee. U'est pur Vjre toi qu esi 6tabli 4 cfite de nous c'est i amour pour toi d'olivier et mgrats. 1 Sans aimer la jeune fills, il Itaft jaloux de 1'afEection qu'elle portait a son fre're ainA.

Ce Reviens, disait-t qu'il vient d'avoir cette fievre qui l'a tenu deux mois au lit. Tu m'as vue pleurer pendant bien Or, les injustices du jeune frere envers son 5 re atn etaient nembwuses. Autant la vie de de ta mre. et ie te rdo i des envers ton frere lve'vs des nuits, et tu m'as entendue dire bien sou-vent: Je ne sais pas quelle est la maladie demon fils, mais ie comprends que ce n'est pas le VaS avait un sacrifice de tous les instants, fcutant la vie de l'autre avait iti une ingrati- tulA A fnutpii les hpurps. main et aime-le, je A dater de ceti ut La Aq du jour ou commence ce recit, Mme I meiecin qui peut le gueir." Ce n'est que longtemps aprei que j'ai nppris la cause du mal le plus qu'une penseo -n-tait bien que si 1'ua i it can uuut ao jiuui cuuei cir jiuui I cice avec son pere et lui enlever sa clfcntele qu'il avait ouvert une a dix pas de la sienne cVtaitpar pure animosite contre son frerel Sa per' Atait de l'abaisser aux yeux de raser a ce point, que la jeune fiL- Ice pour lui.

songea pas, et ce ut la mere ui reveler qu'elle seule pouvait 1 jrde dana la maison. faire, mere dit-elle, rous parler; tun anapeupres qu 'Ernest avait c. au moment oil la mere, droit d'epouser la jeune Cw.i qui l'avait elevee avec amour eeUi i i d'elle mais cet obstacle ne devait ras longtemps il fit part i sa mere de son deasein, aitavait pns apart la jeune nue et iui avait ttua le langage suivant: t-Tu vois, ma fille, ce qui se passe ici: nous sommes tous chagrins de Vabsence d'Ernest eon pere n'en dart pas depuis quelques jours, et roue dans sa tfete quelques vilains projets. rela, 'eqae 1'enfant a ea la mauvaise i Jo eu Lllr 4 cote de nous, que le au 1 1'ti'e soit pas si mauvaise qu em- ta le verras tout-4-l'heusfc. Pierre et la ehargea d'en mstruire Manette.

'Son retour 4 la maison et son association avec. soft pere itaient 4 ce prix. i medeemm'a dit un soir a roreille Je ne peux rieTiur votre enfant; il est amoureux, et si cela ainue, il est perdu il en mourra ou il en perdra la raison." Quand j'ai su que c'itat de toi qu'il eHait amoureux, j'ai voulu t'en parler mais tu tais bien jeune encore, ie n'ai pas ose. Aujourd'hui que tu es une grande fille, bonne 4 marier, et qu'il s'agit en mime tempe du salut de mon enfant et de la tranquil-lit dfjionre, je t'Nsite plus. Sauve-noos deuc'tous en 'epousaU Ernest 1 Le jour o4 rai ta parole, il reviendra ici.

A A contimur. La femme du peintre nesita longtemps a in ei- former la jeune fille du desir de son fils. Elb -tdant la chambre de la jeune fille, avait neux peintre "Je aais le moyen de ra- sentait, avec Ie double instinct de la femme r. le pliA depuis quelque temps mais un jour ou l'antrfljL le voir se fa- cr notre fils," A eon insu, lerjeunehomme 6uit heureux 4 i maison paternelle. II ne comnrit la vnleur de la mere, qu'elle echouerait aupres de c.

cojur si rempli de son fils Elle n'osa dor. pns dire un mjt.ilc ce pri jH a Manette, mais I tout-4-fait, fctjelun edraye des suites sa colere. Autant il est boa naturellement, i.

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About L'Estafette Du Kansas Archive

Pages Available:
13
Years Available:
1858-1859