The Opelousas Courier from Opelousas, Louisiana • Page 2

El AS MATIN, 5 JUIPILET'1862. 02-samidi dernier, comlwgnip de cavalerie do 0 Vj Todd, qui avait dui Camp Pratt paor venir sr partie sud de sommest beurent d'apprendrc que priuderiat tousl Jes r1tsetires de ces ont ameneue su' gans diAlcolti aucune, navbstaiit les qui, it que le dipo tufr.e dx et de voit blesser phi. di NflhuMats Tout cela taux, et pioba. bs a d'agir tt eti ta'nrs fermie cupitaitie Todd. apprermgn ofUiielleu1eait qur le P.

0. la-Louisiane) va le troupes du DOPRutempm comprendra fi et crtte partie la Louistne qui ne trouve Mississippi (dlont nous faisons Nous ine savons encore il son Qtia.IIrLe Capt. Fetay bord titi mwamer WaVieill la dite dit 2 "Vebtilet amnnecer dalis que Lui membrez, Ealum.34gkrentite St. a jJpp4Aait la nuitk I11 et s'est noyt fat un temps nous recevions trois lois par semaine des joupux de sque tous les Etats des ax-Etats-UJdi. it venir glanireles nouvelles que chequmsn.J apportait.

Certaiies db ais connaiss aesnaoubliaient jamais les jours de coorrier, et souvent housdaiotemous conMirer 1Mnh quand oas nous escamonait wdeWtib'e- dates. Auej'ttd'hbui4se Prte $ea obt4 ow ir qou es OqaS fttaqW oqc a. appel anosamis qui ont le bonlieur d'en pouvoir obtenir quelque fis, et les invitons vouloir bien nous favorissr de Vaobaine de ce genre dontegW pourront Aipouu, Ie i le or d'un de ses amis ei steamers qui la, lacs et des bayous, une copie au crayon d'une de ande vie4oae 4. 1 ilouafte ae milles ied Ces aolt le Pdn'U Te4r Le. notri de deux jours neet Quoiqo.

noncent ce.toie, tiff faelesSt Sie yin traduiFcnsd'up de aKs extr proponeI par un membre du Anglis it en temps Chancelier de l'Echiquier: "11 n'egt que juste, j. crois, que nous fasstois conunaire notre opinion et noi sentiments sur la litto gigantesque qui se poursuit avec taeit str le coutineiiLame ricain et sur le -i grandiose de feames miitaires 4e la. pat des tats.Uui. Ils ont obtenu certains es hebamps de bataille; mais encore ume fois ie cet a notre anglaise Si vous consultez les anuales de la guerre de entiel le4 colonies del et notre pays, trouverez-vous les obtenus par nos ar-. mies sur les champs de bataille, dans cette guerre? Ce pas le manque do qui nous de les colonies de ceci: Au fur et n'eaure que nous obtenions des par les armes nous nous apercevions que nous Dn'aproehioup enaucune ftaon du but qae nous noua Euand aedila la subjugation d'un peuple, la question uet fpas de mvoir ai on peut battre les arm peuple dans le pays on porte gPtre.

question est simplement celle-ei C'est de savvir sa les populations peuvent conver ties par un raisotnnement sain et juste, ousi tu contraires elles sont obtcnir une (applaudisements Si ces populations ne sont pas d'eaccord sur la separation, es peuvent i tre cunOquies, uinss i au contraire clies solt et do la et s'il cirenle, das leurs du sasg de Wahington et des' Bidioite 'daujourdbui de la Vrugiuie aIofi peu do bubjujr ler habitaltis de l'AXariqnuUa Sudi et donc il est tout imposaiMe que Pobs ititaifaississo, 0t si toutefdis les civiles et qui seraient tel) que ces ipilitairag aeraieut un as pour ceux qui les auraieut acqui. tIll eat d' uotre habitude, a4 ce pays-ci, de parler frauclhemaet, eje a ois, qu'il est juste, 1.p,;qnmiié et 4p Hos relations ave-toma deut qui habitent le continent Ajpptiotia, il stjuste, dis-je, que nous consultious esrit et nos sentiments de ce que vons appelez juste raison cettp luLte l'Eternel aimener unefin rapide cette lutte! Pour l'amour do nous au des fasse le ciel que cette lutteoe termiiopromipteflent. Puisse cem veu fervent s'exaicer, non, pas pauceque sous le mais parceqme ce sera la phiA. Je boSbeur et le habitant'de beaut pays, qu'ils poieut blancs on soient rpits lIais, messieurs, noUs remekotem noba ici les effets de soette lutte NoUs ne pouvous les nigr, non pas sur seue seulement, mais assai sur d'aitres pays' de l'Europe. La souire, l) Belgique on souf(re, chaquepays qiu a une manufacture do otou soufre plys que notre pays, parceque dans les autres pays il n'y a pas cet esprit qui nous parcq que dans les autres pays on e4 eaoli4 sar le gcevernement.

'uia quand de dit que l'e re le' pprieiogwr, se sont 4a cojlit enivers je .9 iea rdest fial de l'iatin aqra cuel: te9 iaacusme dangaueun paci. guerre jijile mgapa gigpatseue giqaejseuaias gouverBpmeut I's senti ciuq- individus a nspqv avoir cotmujo iun vol rue Tou. 1buado. -99, aned indi. aqqvons hier, i ten 'dit geuru, -ou Mmr Une aux -abuordl de la- prwUn, bierr en interdite, et, que le au corps de.

Mais llIiorfth 4, Vw ettrot tout les a.e~ omis finua enfant se dwmiqanLu la et ou pletilt -g odms, 118 des IegirB aux du drame sanglant qui wu termilper lMeuiv detr- qutftr Jae 'Leibl e-di peine Com.e tqt ait, e' pid deUx portaient -la- Ieotmo 4g Botter faite par le le sur la pl 0n fer qllaque olwios a dire, lkygi n'il dt' $jqs4exgqql. Fe uii ci. ui' ria vant poer I ge ax Eo triant il et on l'exemipta du service ee qui lui permit errer a sa guise. Il rcnrontr; W. Clary qui, avoir onuaissance avee lui, lui montra des pa ipiers et lui demanda son ro.r aire une reciercybo caCbbe0.

Il conseutt aller avec Ini et il jure qfe la nuit il ne pas les tables intentions de son compguon. 11l se trTouva en rapport aveci oute la bande jt, avoir vu prePdre des bijont chez on armurier qui u'avait d'autre armie qu'un polgnard, il comnprit le but de Dans inme nuit, ou trouva iaIs un autre endroit un pistolet et revolverct on enleva une montre. Le leudc main on partagea les et on la nuit suivante. Newton quitta la bande le juur en emportant la tontre de M. Finn pour se venger de Clary qui avait de le tuer.

C'est toute la Prt qu'il avoir prise aux entreprises tiocturuci dCes soi-disant chcrcbheUar du 17. DU REMPLACEMENT MILITAIRE. On sait ce que c'est qu'un un honme qui, exempt par la loi da service militaire, s'engagb, pour une esnmme convenue, prendre la plice d'un autre et faire tout ce que tenu de tfaire On le voit, il 'agit ici d'un contrat syrallagnatique, d'une convention faite'de bonne foi et l'amiable. Si les deiax iarties 1e -pliasent les couditions dans l'acte, tout va bien, et personne n'a le droit d'y trouver redire. vient cependant existe en nue contre des deux contractunts qui le le moins? vient qu'ua est peu et que l'on dit uoloitiers de lui.

pour le qu'il a vendu sa pecu? Ceux qui se servent son de cette expression et humiliante, n'y out pas Tout travail, en ce monde, toute peine doit obtenir son Est-ce que Tes luinistres des autels, les magistram, les les avocats, les on eufu, nimporte quels titres, sont pas pour les services qu'ils rendent a la ou aux sim. pies particiulirs? Oni, certakLeoene, ils le sont. Eh hieu! pourquoi voudrait-on que celui de tous qui donne le qui s'oblige a supporter les fatigues. les privations et les enuui' de la guerve; que celui enfin, qui doit exposer sa vie et repaudre son sang, s'il le faut, dans vingt donc, dis-je; voudrait-on que celuila cul tit exception'a la comimune'! Conver ui -en, ce serair absurde. Fnour ui lu me defiandait lequel, mes eux, de du ou i', je pas we Sveur du premier.

Je dirz: sas'avoir l'intention de blesser qui que ce soit, que j'estime autant, sinon plus, A'hmtoeo db ceur qui, pouvant s'en dispenser, f.it volontairement soldat, que eelui qui marche pour! non propre compte; car celaeti ne faire autrement. It faut conclure de ce, qui qu'on a lufe.i bomme d'honneur et -bt que l'opinion qui -totitraire, n'est qu'une injust pr4t ea qu'un dont il est justice. O. P. Democrate de.St.

Martin LA PAIE DE L'ARMEE FEIERALE. Le nombr 30,834, tandis qua lm forees volontaires 642,27 hopwees, faisant un total de Dans l'organisation figurent 1 liensntnnt dont le salaire annuel est de 9 majors $49,356 9 brigadiers 1 adjudant $2450; 40 officiers McClcllan, parmi 6 brigadiers 9 colonels, 16 lieutenante-oalonels, 1 major et 8 capitaines qui ecamminsariat du partement depwtemeut dec 01 dolonels du et de cavalerie 4J lieuteSnants-colonels 61 ewjar 61 adjudanta 1220 fieutecaits $169,801 1180, lers sergenta $240,72 3540 sergents 4722,160 59 sergents-majors et 5 quart5? $28,536 ens, et assistuts chirurgiena e226 550 59 aid4e $17,700 et 52,470 timp soei ats $6 026,832 De l'arti 1 lerie et do l'infanterie 8 5P colonoel fieus l.nt-côlonels 1u8; 568 Il efieA 8srgi4 fl000 autres abrgesks 056.800e; 12 tManjois aer quartierswayiteM 8I.7:84;ui150 et 71 3pital 1200 510,318 simples soldais 'es obiftpe la d'offiiers jor, le service du re.ratement es les'servieuA et le salairede 667 rpayeurs et assistants $100,817 1600 gardea.malades*T2,O00; 100' sergente d'ordonnance pour quaiaer aitreco.mm sseaire chirurgietis 4823,788 et 725 chapoins $1,100500 ete nous trouvons lin total de salairec uannuel s'Ietadt' $223,344,272. No1w ajouterons $60,000,000 pour le tement d'ordonnance et pour approvieionini ment d'r pour le buiei transport et continumtes, et dg $2,000,0 jour, ltsgrafl Nous pensosto que ces authentiques donoeront utoe ic masW juste deg4asiasnor-, mise sunr pied d'b 'S o'e de''yrStf. niathtig iui il ya tJq avoir Mdlheore le poste de premier de Vew'Yort il retronva son ni-i veau dads les derwes profonde.nrs de l'insigniLiance et de et son parti l'abandonna; mais depuis, la boue a et celui qui descendu dans la vase a reparu la surface gros crapaud plus bruyant et plus iimpudent que jamais. C'est souvueit ce' qui, trive dans notre rien n'est plus -ue de voir un escroc, que le temps a un pas ses crimes, devenir an objet de faveur populaire on l'appui de La position qu'a ptise et les principo qu'a son.utenus dans son discours cet homme de bas seraient une hante pour tout autre que lui.

ACTE RELATIF AU DES iATBOUfLLES Sec. 1. Le et la Chambre des Rle. de l'Etat de la Louisiane, en Les jur-s de7 police des paroisses et corpora. tions municipales de l'Etat, la seront ue amiiende qui ne devra Bas dix piastres, et un emprisonncaintt dans la! de la pa.

roisse qui pas heures peqr tous sans excuse valable au service de la atrouille. Los juges de paix de chaque paroisse pourront Iconnaitre de ces manquements et appliquer les peines par les juris de police sur le rapport du clief de de la circonscription dans laquelle le manquemnent aura lieu. Sec. 2. de plus Tout chef de patrouille qui de faire son rapport sera passible des peines dont il la section, et ce, sur le rapport de toute personne dans se circonscrip.

tion. Sec. 3.. de plus: Le Acte entrera vigueur le jour de son adopLion. le 23 Janvier 1862.

THOMAS O. MOORE, Gouverneur de 'PEtat de la Louisiane. gyUn journal de a que les demoi.elles sont plus que les femmes C'est ai, un vieux celibataire; mais il est reconnu u. les hommes ont le mal de plus souvent que ctux qui n'ont pas pris femme. le monstre pouce est un membre trbsutiTe; mais ce n'est pas une raison pour que ceini qlui en a deux tienne son voisin sous le pouce.

07Un ami consolait un homme dont la femme venait fuir le domicil "Ne me plaignez, lui le malheureux, ne me plaignuez que lorsqu'elle remarquer, Madame, sur la dont je viens de vous chanter cette romance, demandait un fzquin une darde de bon n'y ai rien vu de femme est le nqyau de la crinoline A nos les circonstances que chacuin sendra seas dote, nous nous de rayer de noti liste les noms de ious ceix qui nous doivent deux ans ot plus, d'a. bonnement. Nous invitons donc ceuir qui se trouvenf dans cette et Pui des encore recevoir le Courrier de vonloir bien venir sans diaai, afn de ne pas intcerrnzprrPenvcoz dt jotrnd. PocRDAf.E OFFleIEiLLAS na RureaS alce A ille1 Dff A une ixtraordiiaire du BeIeau, tenue ce jour, fui ent pYents: f. A.

King, J. J. Beauchamp, O. Depf, Jau MeCormick et W. R.

Meinil. E. D. Estilette, le 9 Juin pour remplir la tacance occasionnrbe par la iggesito A. sonu certifical d'd Wiba et pWetand son Surmoiton de M.

Beauchamp, i est que r'oerdonnmiue "Ordounaane potur inepder r'article XX d'une ordonnanie. tituti ce coneernant public. eowua," ad6p. le 7 Juin 1862, soit et par le priaent est et nouvel ordre il 4era loiwible aux bouchers de 'vendre de la viande fwiche epudit un prix qui pas dix ceatew la livre. Sur motion de M.

Meginley, il 4st rsolu que le salaire du TtirWsride la ville pour 1862 soit la seame de soixante plstres. Les propositions de M. Megiiley, pour lI constrUdiion d'un pint eue lb de la de M. Rawls, pour a eSmme de cent piastres, ont ladite conatraoion lul Sur motion le Buaeau ajourne. F.

A. KlNiI Jos. D. Racean, Grefier. Lo iaetcedi pro.

premidL sont (e 442DE Une Ife jigi4u ru 'iIer mianu dfr 0s'loua. ''den au woMiaai izl aUC d'peleauM, ou P. L. rwaciex4, J8N Rue de ls e1 -A 4 SI, eqU.I~ VEyT4 9 Succession de Marclite Fonsenoti Vewue Lajfieur. vertu d'un.

ordrt de Tl'Honorable Cour de Disatrict dans et pour la Pa. roisse St. Landry, il sern vendu aux e.nchères publiques, zur l'btbitaeon ci-dessous par Paul L. E. Guillanmin, Encantour, le Jeudi 10 Juillet prochain, 1862, Jes de la succession de la feue dame e-iarclite Fontenot, veuve Laflcur, savoir: Une petite Hlabitation, en la Paroisse St.

Landry, en la Prairie Ville Plate, contenant maison de demeure et avec environ 140 acres de terre de prairie, tenadt: au nord, Louis Chlapman et John 81raw; au sud, Ju. J3te. Lafiegr; l'est, John Shaw et Ju. Bte. Lafleur; l'ouest, haspmau et Chapian.

LOT OE B101S, en la mnnie Paroisse, str les confins de la prairie de Ville Plate, la pointe alileur, contenant environi 156 arpents, tenant: au nord, Jn. lBte. Lafleur au sud et l'ouest, Mme. veuve O. Lafieur; l'est, L.

Chapmian. Ce bois sera vendu en deux STrois Esclaves, James, de 33 ans; 0Jn. Baptiste, de 29 ans; de 55 ans. Une paire de beufs de travail; Environ 40( de cornes (bovines) douces; Jument et poulain; chevaux; Un fer mnar4uer les animaux; Vu lot de cochous; Charrette boufs; 7 balles de coton; faire en riz, patates; et une foule de meubles meublants, ustensiles de cuisine, et instrliments oratoires. (Co.rrtroNs:-Les paieront leurs prix en deux ternies les preinier Avril 1864 et 1865; ils paieront les 8 pour cept.

par au, partir des et fourniront, le jour de la veute, deux cautiou.ns solidaires. Les inimeubles et les esclaves resteront greves du de vendeur jusqu'au paiement leurs prix. LOUIS CHAPMAN, Administrateur. Opelousas, 7 Jtrin 18it. ORDONNANCE Amendant XX d('ne Ordomnance "Ordonnance concernait le Public dans la Ville dO'pelou.

sasb" adoptt 7'Juillet 18t0. A RTICLE I. Qu'il soit par le Burentw de Police de la ville Opelouas: Que l'article XX d'une Oidonnance "Ordonnance concernant le Public de la ville d'opeloutas," le 7 Juillet 1860, soit amende de a lire comme suit, savoir: "Que toute viande fraehie de bovine offerte en vente audit ne sera pas tendue plus de huit oents la livre, a compter du 1er de Juia jusqu'au 31 de ni plus de dix ets. la livre compter du 31 Mai, inclusivement, sous peine d'amende de piastres pour chaque coutravention." Art. IL Qu'il de plus Que cette Ordonnance nura force de loi dater desa publicatiotn.

le P. A. KING, SJos. D. RICHARD, Grfer.

ORDOWNNANCE A diant l'aftle il70 de fAt loi 13 de 'd A RTICLI I. Qu'il soit par le Police della Ville louss: Que l'Article 170 de la loi il de la Ville d'Opeloupsas soit aiendlt de lire comme sgit. savoir: 'Tout hlabitknt libre et 4biano qui aura atteipt de dii-huit an.r et qui sera au-dessous de soizaute anu, et qui sera do la ville d'Opfousas depuis tro moims; sera tenu de remplir les devoirs incombant la patrouille, dans villed'Opelousau. excepte les ministres de les Praticiens en iedeciue, les personnis au transport de la malle dans les Etata et 'ls bouchers et les boulangers," rt. II.

Qu'il soit de plus Que cette aura fore de loi dater de sa le 7. Jui4 1862. F. A. KiblI, Jos.

D. Ricamas, Grefier. S(14 Juin 1862. palre te-bef apet tenant au gouvernergent des Mtats et ejutaes Matoisioan. tue, farmi lequelts s'nt0ieIi oiie.pms individu ewwaertira ce Is ou aucun Ns on- propre carg, oq qui en posor sun lit.p.

conque aere poumukiaiel.a toute es.cF du J4iwr1ernea du GokpewmeW es tdaRttaowid Opelousaa 17 162. 124 buerstion de Louis Petloi 7E OIiTI esuES avoiri F'uutenot1 sont a. s'aissr Ville Plate. Peux L. P.

b.foiteâot,' qu Oe'nt leur 16 pro auilrdi'i4d -deq somm.es do soit Pr duaSus qu'elle iloot -Qispositioiq. entte tes imulus morsel; aite, Pldte, et 4fii'ble ne produit pas Bayufg mit MEEIdea 1ev NOUVEAUX AUIVAGES. dernivrernent la Phaimacie des Opelousas tCnum par P. L. AD, Phosphate de de Leras, Ilypophosphite do ude, Bromure de Potassium, Aluni de fer, Pr its chimiques et Medicamnents Jnglans et grande de Keiedy.

Lqueur l'Asthmie, de Jionas Whitcoimb dames: crntrauxde poche et de chasse, pour homme; cibaux dle dnries assortis en boites, et par paire: forceps et elefs. lettres la meilieure plumes d'acier, manches de plumes; Crayons; Carmine de Guillot; envelopes; eucre noire de Maynurd et yts. ARCICLE? DEFANrTAiSI1 PA.FaMER! tuncittes en biscuit; boites poudre en porcetaipe et en verre; portes monnaie; essence pour axouchoirs; pomiade; savon de toilette; huile pous les chbt''ux, etc. Pu. ats.i--Blanc de 7incetde plomnb.contentes broy: l'huile et l'eau, huile lampe, et de lin; un lot de jarres en verre potur con.

fitures. Opelousas, 19 Novembre, 1860. $24 DE RECONPENSE. SSe sont de l'ihabitationa du pris du Grand ('C. teau, il a environ un mioi-, une canelle, 9 as, une tache blanche au front, et n1 portant aucune poulain, d'un an, suirel, front blanc, peu ain-si: J-( Aussi, un Oetit chdval qui va inaturelleibeat l'amnblb, pt porteit uns marque donut on ne se sourient pas db la forntu.

La oi-dessus sera quicon-que cea chervux au et une Uraite ii celui qui donnera des infui niaLions qui conduironit a. leur appribeisioin. JOHNL GARDINER. Grand Coteau 14 Juin 181. 2Stf INSTITUTION LITTERAIRE DES.

OPEIOUIA Instruction dans les deux langues, Angraise et Pour les conditions s'adresser C. E. 6 Avril-la) Prinipal. E.NILLE CLAULDK, ayant et.coniplitemeiit et HMlel avantogeusepient consr, rue Maine, aux Opouloeas. ems aetniellemiefit pt recevoi les voyegeurs et des penesionnaires permanents.

Une Ecurie spacieuse et bien est adjointe cet bien de mai! et de tourrage, et o4 les soins les plus minutieux seront aui chetanx voyageurs. Sa table seras toujpurs pourvue de mets et abondants. Ni peine ni frais ne seront di du pour complaire an public et pourjgaeier une partde ba laveur. Opelousas, M1i 1860-1 a. IOTEL DES PLANTEURS, A W6shington.

A UE soeswgaX'a l'honneur d'infoimerI ses aMciea letEous, et le public en qutJl a coistiuit.un nouvel vaste et commode, local, l'enroigkure des.ries et Wdshington, oa sera beureux de recevoir les voyageors F. TRAINER. Wshioetar49 1860-la N.j.-*,F.statiché une spacieuse et conlortable l.es chevaux sont et oi on trouvera coustanmment desiilhevaux et huggys louer F. T. iLOTELDE L'AIGE, WASHINHTON.

JAM3fS S. GRIe LEE, Mississip4 cette au public qu'il recevoir les voy. geurinaiinsqae duspensioinairea. Cet meut deux et ufait (sce au LCourtobfiria. Les ap aittementsont garnis neuf.

Le oUe iIwessaqts pouvoit rende maisoUUaaiconmode et que tout entre eegenre Ta campagne. Il asmr bonne Washinitun. La. 14 Jiapvier IS60. 1010J5E UIK'NTE.

115smigue Di l'encoignure des rues uain ae Belle. daos Ta cour de Ma pharmacie. Opelon. un aeortimtient de bois de chaipente le plus uait4, eon pin et Les devis que Von voodesa bien lui eonfier seront promptemient 't elaetement remplis. 1.

P.LONC1E HEBRARD. Opelousasli3 Juilet 18i1. J. 8 NQ lit ET ENCANTEUR, ses services aux public. Ilureau t.

Ladryv, 22 Bof 'de Us. I sooAsign6 eBt manintenant rein. NJ plir le devis de ceux qui pourraient avoir besoi" de btis de construction, Fon mdulin aie, sdur le Couriablqixu, 3 milles du Port arifl Iat anjogrdi'bui, et tienidr? constamemet es main, uie de bois sW. -CHARLES CLOSE. Paroisen t.

Lndry, 8 D6cembre 1S60. 1 les peau. Ja laine, les bL cbaui et de la laine en de leurs muarchandises, lour niaM-o. a pe.aoua. 17 16 1.

NTE UR. O1reauA san encoignure des res Court eit South, aut Opelonsas. 9 Jnui 1800. JOB Natire P'itc eh liParosse St.rLadry. "'sea srvices ses amis et au pu.

0 ie en Toute affaire lui cone, son ureau, Opelousas. sera dans pfis court possible. thfl savon et de le ra18re l. on vgudra bien lui! whtM brigp a lme0t, les vieux A UG. J3OI1MIE ous.

ses BODEMULLEI, l'auncien local de Rachel et lamusi dt il 16 7- 5Sy -I Mnhema4. 4 molIi.d A vendre a l'amiable. UNE CERTAINE HABITITION S1RIBRE daus la Paruisse St. Landry, bur la rive Est di. Baycu Crocin ou en Shaut par do rres appra-teiantn Ldd, -t CenIbu ba terreb ia TCeiell, ayant 18 arpeuts de face 'sur ledit Bayou Crocan, sur une profondeur d'enviren 40 plus ou Lioins, contenant Fsept cent dix-hlait arpents, plus on moins, de su perficic, ensemnible avec toutes les et sunt AuFsi A UN CERTAIN MORCEAU DE TERRE, conuu le Thompson T'ract, dans la stusdite Paroisse St Landry, sur la rive OueSt dur Bayou Crocan on ayant 14 arpents de face sur ledit bayou, sur une profondeur en-haut par des terres appartenant Thos.

B. Knox et Prudhetnule, en-bas par des terres appartenant ou connues le Nu. gent Tract, et nsur par des terres appartenant Tlins. TI. Lewis, presque vis-a-vi 1de ladite Labitation et cx.Ltcùniit 4:.8 arpents plus ou moins.

3y-'Pour les conditionsi, s'adresser John II. ilsley, agent de ILichard McAll, dans la Paroisse Ascen-ion. ou R. McAll 4 milles eu-haut de Donaldsobville. 18 1860-tf a rI a1SOO acres de terre, partie bois, partie prairie.

au Bois Mallet, ienviron 18 milles du port de Washingtut et environ 3 milles de la ligne du chemin de fer entre la Nelle. et la Texas. Cette terre sera vendue en un seul morceau, cornmme eilu se trouve, ou elle ser- et vendue par pour des attendu qu'il a sur ditfftrentes parties de la terre d'assez bounes aimllicrations. Cette sera vendue un prix raisonnable et de longs termes de si on le gfrouiir plus d'informinations, s'adresser au au Bois Mallet, ou au bureai du Courier. F.

FFRAY. St. Landry 18 Janvier 1862. 7-tf LI QLT R1'I 17NF RAUX, LV.uuNy. Opelousas 29 MIai ut 7 i COUR oiticiers suivaotit sout par les i pour condtituer la CourdAismet 'Y pour ce savoir: A.

R. Hawkins, 8 en remplacement du capitoane John C. Barry, Capikaine Leroy S. Ilavard. -Lietitetiart' theodqure lXXValronrt.

a Jel Ti. tiom-A roct. L. V'. l'Orile N'.

1 de A commandant ce 4 cette Cotr une oijis par La Coui le jour et l'heure de Par ordre de JAS. M. PORTER. Coluneie Tmoa. dyiidanf.

a. iBe ARCHANDISES bon a vendre chez Bloch, FirMberg Co. 1'. Plus de Va les circonstances, nou. AI ne pourrons plus vendre que pour du conip- tant.

Mais nous sommes d'avance que les prix auxquels nous vendrons nos marchaun- dises satisferont pleinement pubec. lie BLOCH, FIRNBERG Co, Opelousas, 14 Septi COUl ETTE Cour se a la Maison de ur. Opelonsas. le Samedi 7 Juitin 'n, 1862. 10 heures du matin, et ensnite le premnier Samedi de chaque mois.

pour la transactiou Di' tfaires de la juridiction de cette Cour. Les Capitaines de IMilice tdo Regiment de- 3t. Landry douiiieront avis leurs compagnies respectives. le jour de revue ou d'exercice qui immadialterent de cw.te Coss, dq lie pour assessemrent d'amendes pour avoir twaliqub Lail aux exercices on aux revues, puissent faire valoir pal les raisons. si aurune ils ont.

pouni lisquelles teilest de ameildes ne seraient pas assesspes rentre eux. JOHN C. BARRY, IM dit ludite noi Opelousias 17 m-a 182. 24 i 1Waurchawds en eto vn gt CI CAILLEIUE, VERRERIE, bi CiIAPE.A UX. G'AsQi UE i.TTE.S.

9 Mars 1861r I eis enm qi dles et du dte la NouveIIc.Otlé1w, umn Amrtciment conitidirabIe de cheb d'Automne et d4.fiver; ge BbTrTPS, SOUZIE.Rý;,- 1I Modes ete Qu. un -e, de Marchandises de toute ni, IV tset pour que pour qu'ils vendront comme h. peour du I comptant. NET MltiUPRE. 6 Octobre ISOO.

di Ru bvle de, nt ev coiarhla la ttt est imstks toute, quelh'ue avee la plus grande ezteIle dans l'art de con-' -iervrr les deals nielutellesi Yt s'y paiticu '1 Le U)r, Lunter' font son temsps et attietion I'extevit-e oe sa profrasrjos fr Washington, 26Mui 1S860-ia 7.0o USiS 8" RENDRONT en collection rechmattons de -p Stontes sortes qui pourront lenr etre I par ceui qui ont des effets ctaeter des Paroisses le St. Landry et de celles aiasi que de la Ie Ils lear as-8 siduit etleur exactitude, une partie de l'encounagt- ch ment du public. Leur Bureau est. aux Opeloess oui M. Proevost, ue de Maise.

eai Opelousas, 15 Janvier 31869-lt soi leA aur ia informe respeMteusenbent le public de qu'il lomers ees maigonirMit Sources de Beaver Creek. Les.pir»onn« qui pser leur cette retraite, poriero.it 'ten procurer en s'adressmut au a Opelonase, on M. Alfred Andins. I Les visiteurs iont d'apporter du petit attendu a s'en procurer, HE0NR PROV18I 10 MaM 1862..