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The Opelousas Courier from Opelousas, Louisiana • Page 1

Location:
Opelousas, Louisiana
Issue Date:
Page:
1
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Vol. XI. Obelousa. OPELOU 8AS: SAMEDI MATIN, 17 FEVRIER, 1866. r( Nous apprenons que le Gouverneur Wlils a son veto l'acte relatif des officiers municipaux de la Nouvelle et que Lundiprochain ce sera le tour de celui relatif des offeierf de Paroisse; ce qui veut dire que le Gouverneur apposera son veto celui-ci comme il l'a mis l'autre.

Ne connaissant pas les raisons qui ont, le Gouverneur agir ainsi en face d'une aussi grande des deux branches de la nous ne pouvons que faire observer que ces deux lois jumelles certainement populaires, dans le public comme la avec plaisir que M. T. C. LITTELL, de notre ville, a par le Gouverneur, Notaire public pour la Paroisse St. Landry.

Cette nomination recevra sans doute l'approbation M. Littell est capable de remplir cette place, et quoique le Notaire soit comme l'instrument neutre et muet des parties contractantes, il n'en est pas moins vrai que quand l'officier est probe il peut souvent ou de graves erreurs on de la fraude. C'est surtout que M. Littell remplira son devoir. MATIEBE A HEEFLEXION.

On lit dans L'Abeill de la Nouvelle du 10 "Nos lecteurs ont dg voir, dans les d'hier matin, qu'il faut a'attesdre. de la part du toute ltesres extraordinaires du Sud. que ue 'on craignait tout d'abord rien de ce que l'un voit, et il peut se faire que ce.que l'on voit aujourd'hui nie soit rien de que l'on verra plus tard. Ainsi, un radical a une pour faire eidamier la question de savoir s'il ne serait pas opportun une taxe sur les Etats en insurrection, pour couvrir les fiais des entretient pour eux et chez eux dans de l'ordre. Cette peut fort bien et devenir loi.

Alors le Sud aurait supporter une taxe nouvelle, dont le montant trente millions de piastreik Cette taxeadmise et il deviendrait facile et logique d'en une autre. C'est pour le Sud qu'on entretient une de 40,000 hommes, niais c'est aussi pour le Sud qu'on a une dette de trois milliards, et de trois milliards cinq cents millions en ajoutant les dettes de guerre des Etats la "N'est-il pas juste alors que le Sud en paye la plus forte partie? Le alsonnement est impitoyable, et bien que le Sud ait perdu pour plusieurs milliards de valeurs dais cette guerre, quand le Norda a contraire n'y aperdu que sa part de la dette avoir I'miunilse chaque de deux oun tort qu'il a subi, il est obable que l'esprit d'absolutis-i me aille jusque-i, et que le Sud soit cou' tinuellement diornvelles charges." 1 Le President et le Congres. de 'Abeille.) La guerre, depuis l'ouverture da Coi.grès, a entre le et les r-dicaux. Ce sont ees derniers qui ont les hostilits. A la sortie inconvenante de M.

au a dans la Chambre, un veri. table contre le chef du pouvoir pr XM. Stevens, le grand inquisiteur du comit; de reconstruction. M. Jobnson u'a pas au feu de ses adversaires; leur ardeur etcontinue eatitique de temporisation.

Cependant, dministration a des M. Doolittle, au M. Raymond. am re, tous deux membres du. parti st les attaques de conduite par depuis la paix et ses sur la reconstruction.

Mais es ten ep n'ont eu aucun et les votes ont combien il est diff d'entamer la phalange aves ane discipline extraordiair aux ordres des chefs radicaux. va condu' eette lutte, dans des conditio en apparences si o'est ce qu'il presque de dire; car, si nous codo aissns le plan d'attaque des agreseurs 'a savons rien epcore des plans de que pourra mettre en euvre IFP Pri" Il est bien le but final vers lequel tendent les ert du suffrage ou de qu'ils appellent le dans tous les Etats de 'Uni Les plus voulaient un vote direct sur la question, en Etat ne serait moi fSeenter une constitution universel. Mais des conseils pqes ayant prvalu, il a i recours un damende i costtutionuels au moyen dequels arriver au Le vo la-Chambre sur let suffragedes l. Distaiet de Coloembie ne laipe a rJie sentiement le et l'o peat dire que ae forme plus qa'un aes lrparti On avait eo, au a session, l'espoir deoiUn saombre da. de l'ergades des tiers, vaiet paaser des fa onestittiel, 'ni iet veto da PiUides.

Maijeet es deux ebambres. -Le di M. mnoddeontreamode a rielprtMaoiUtk dema m.e sua.r a New York a .4 abtisas, gua la apste Ls i de ds euiltIdods acquise aux mesures qu'il plaira an dictatorial, dit de recoinsruction, de proposer, soit sous forme d'amendement la Constitution, soit sous forme de lois, et cela, comme nous l'avons dit, la cocession faite par le qui a reconnu aux Chambres le droit d'exclure de leur sein les et les des treize Etats. Cependant, le dernier mot de la lutte n'est pas encore dit. L'effet du veto sidentiel n'a pas encore mis Ce veto peut s'exercer l'occasion du bill qui accorde le droit de suffrage aux dans le District de Colombie; mais le bill la Chambre n'a pas encore par le et on dirait qu'il a une sorte de la part de ce corps, comme s'il craignait de mettre M.

Johnson au pied du mur et de provoquer de sa part une attitude de tance. Le bill qui les pouvoirs du Hureau des Affranchis, par le devra par la Chambre, avant soumis l'approbation direct du En dehors de son droit de veto qui peut par un vote des deux tiers, le a d'autres moyens de cointrecarrer certaines mesures du L'un des plus puissants est la de la proclamation qui suspend le writ d'habeas corpus dans les Etats du Sud, ce qui indirectement la suppression du Bureau des Affranchis. Le maintien de la loi martiate dans ces Etats est, en effet, en contradiction jr les que soutient le et la logique exige qu'il adopte dans son des mesures propres substituer partout le civil au gime militaire. il n'a pas voulu rompre en au et il a maintenu dans son cabinet des cains comme M. Stanton, afin de garder, de son l'observation de toutes les forine! etdf toutes les convenances, nais le mo ment viendra il n'aura plus que l'alternative de se faire l'instrument docile des dictatoriaux du parti ou d'exercer dans toute leur de les pouvoirs dont il est pour la fense de l'Union et de la Constitution.

Si, d'un les radicaux trouvent dans pouvoir un obstacle leurs abus ils rencontreront de la part des d'Etat une non moins leurs attaques contre la Consti Ils n'obtiendront ratifit artdes d'hUt pour tous ces amendements, l'aide desquels ils essaient de saper les institutions politiques du pays 11 est vrai qu'ils en arriveront que les Sreie Etats du Sud, pas dans l'U nion, ne doivent pas dans le nombre total, et que la des trois quarts requise par la Constitution sera obenue s'il a 18 Etats'sur 24 qui ratifiaut 'amendement. Mais une pareille eontraire au qui vient re serait si monstrueass qu'elle toutes les etdevrait tomber devant la pumlique. Ia crise politique progresse pas pas, et i peut sarvenir un incident qui en la Mrchbe d'une inattendue, en de la prudence avec laquelle le Jobtspn cherche une explosion trop a ttdi none attendre d. avant la fin de I on actuelle. llK 6uon au Remorqueur Baltic.

On dans l'Abeille de la Nlle. du 6" matin vers 8 heures, la bouilloire du remorq Baltic a fait explosion. Le bateau venu amarrer au pied de la rue de la Douane, entries steamers Champion et Texas. A peine la neine.avait-elle de jouer que avec un bruit formidable, et le BalIe; a rduit en fragments. La coque a dispara sous l'eau, et il ne reste plus vestige du Plusieurs personnes ont plus ou jaoins bord du Champion; mais aueune dangereusement.

Quant aux hommes du Baltic, qui s'y trouvaient au nombre de cinq, deux ont ou ont de leurs blessures, un a disarn et les deux antres ont Le capitaine J. S. Smith a eu la jambe et a qui en fut la George Ciaviney fut lt gravement la le pilote Peter August ut Christian Weeling. chauffeur, n'a pas reparu l'accident, et John Linchock, de cuisinier, a i Un gros frasgmeit de la bouilloire a le iteaer Cotile, qui au-dessous du Texas et a ble assure ton, le commis et l'homme de la bavette. Une forte de bois a dans la bre de dames sur le Champion, et a de Les meubles et les fournide itr ont dans toutes les diI'NEploMion dc Steamer Miami.

1 HOBRRBLES im tirouvos dans le journaux de Memphis da 3 loiong sur la perte du Miami du suet le l'Arkansas. Il parait certain que rs ont pri, parmi lesquels une cenmta mes de la compagnie du 3me d'infa des Jtats Unis. Le teib arriva qu'on eat pris le et rit de passagers de chamsasimrent lm pI uiy t. D'autres en petit aidi porte, ger. par d'n men ane balle de foin on de coton, ggierai Le imorts, les et tous as ient mouvo.

pmptement, at sii pour les poignets aux aW le rouf. kes vt et astlts d4aant4e toutes lait flammes qui tourox. lis pousestmt dc aburlementq I i. 4 ll. i to the fairly il lils rsis i.ique 9l1, ita la 'proposiiion quii brihlle dle la No 1 le fii faci.

verra par l'arti csuiv journal. Il dit: "Les personnes habitan. s'abonnr 1' le faire en nous adressant sinp ii dans une lettre la malle, leur unoi et I'indication du buretu de pote re le journal. II va salis dire qu'e montant de l'aboineuicent est billets de la ville vu Il est si rare que des lettres renferrmant de petites valeurs qu'un ne risque presque riei placer un billet dans une enveulope. "Nous ret-vrons des aboniinetcrits quotidienne de pulir trois mois et plus, ruioi de truis piatres par trimestre; et pour six et plus, raison de deux piastres et demii le 8 couiiant, au Grand Cotrai, le Rodu.

M. J. EOBERT, de la Nouvelle LODOISKA LAGl'E. de cette Parc-se. -En le 14 couranl, M.

Edriond Johnson, l'age id 64G ans. Dissolution de LES de commerce qui existaient ci-devant sous la raison de Bloch, Firu. bcrg 4- Co. et sous celle de J. Bloch 4.

Co sont. par les dissoutes. Tons ceux qui doivent l'une ou l'autre de ces sont instamment de venir Bloch, Co, Opelousas, et ceuyqmitrit des contre ces voudront bien les aux mnmes. BLOCII, FIRNBERG Co. J.

BLOCII Co. Opelousas 17 1866, 33tf Vente a l'En cn, POUR CAOUSE DE DEPART. LE fera vendre l'encai. son domicile, Opelousas, le Saimudi 3 Mars prochain, MOBILIER, consistant en meublee'de maison, ustensils de Cuisine E. PILATE.

Opelousas 17 1866. La Maladie qui court, par boulons sur la peav, et par une jfort CETTE MAL)d)IE DE PEAU, des plus et occasionnant une rnsauii rtabl, actuellement ripandue dans la et ailleurs, peut facilement et radicalement ern HEURES ET DEMIE. (Toute une famiill, si nombreuse qu'elle soit, peut s'en dans le espaee de tiips, en une seule fois A cet effet, s'adresser Opelousas, au Dr. A. HElNRY, 4ui s'en occupe activement, et toujburs avec un certain.

Opelousas 17 F-vrier 1866. 36tf THEO. CLITTELL, -TOTAIRE PL ET ENCAN1 TEUR dans (t pour la Paroisse St. Landry, s'occupera et en tout temps des affaires qti lui serorn Aussi, comme agint et Marchand Cummissionnaire et aget de -ahange, tiendra avec soin'en descriptif pour la vente et le fermige et, aussi pour la vente des itarchandises Bureau Opelousas, encoignure Main et Landry, au magasie," M. haler, bijoutier.

l117 1866. 3m Depot de Medecines DE ST. LANDRY Etabli en '1848. SE tient constamaent en main un assortiment frais et cioisi de drogues, produits chiniques, et de les Jlus populaires. Aussi: Peintures.

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la GRAINE DE Ci FBRCHE. 3 hboisseaun bofpe graine co. O3 ton de la colteae 1865, vendre par B. L. COLE.

Sur le Bayou la Jonction. 10 Il8 3.5--5t aetal udin A vendre a bareas des Opeloouas. ux ledit aienviron quatree terre de superficie, enssimble aiv les et uiianiliorations iui s.nt sitiies. SQmitre cheivanx 2 S. 27 de cirn's Il es; de beie.i chcva liii rouchlis; un ba, il d(e; sel; dritu, jeannls; jarres; Imn u.

bles de iiiii.oi; ten-. sil i di. cuisine; instrumenits ara. toires; une chaiiirette a 1 deux paires ide roues de charrette; outils de c-harp)eitier; un armoires; lits et liinge de lits; chai. ses; tables; et une infi.

d'autres articles d'ui usage dans un entretenu. AUssr, Le mime jour, et au lieu, il sera vendu, un baii lot de BETES A CORNES DOUCES, Un clievil et iune jiument, un litr Iii 41c. a la succssiont de Virginie dicuedeic de Davil lliggeriibtlhnm. de vingt jpiiatrcs ei au di-ous, payable coimptant; et toiutes les au-dessus de vit int irnitres. payables un de Sun et deux ans, a compter du ler d'Avril rurochaini, -(6.

Les fournis. sa nt leurs robitli i ions aver bonne et solvable caution sol ii re lit satisfaction de an domicile lde Smiihi.au arI tra Coltenu; losquel les i b'lig iio porterontt raison ct; iiilt pour c.cent par de l'ehi ncep Et en outre, la terre demenu. rera la succession pour as Isurerr le du capital et des s'il a lieu. JOHN F. SMITH, Encanteur.

10 1I66. Avertzisement a qui de droit. LE soussignC donne par les avis ceux que cela peut concerner, qu'il poursuivra selon toute la rigueur des lois, personnes, quelles qu'elles soient, qui couperont du bois sur son habitation de Belleiment. (ci.devant appnr. lenant nu Dr.

George Hiill), dau la Paroisse St. Lai.dry. D. 10 1P66. 3 85-5t Il a de ilation du soussignfe, du Pont-Jreau (St.

liartin), dans la nuit du 31 JaAvier dernicr, un Etalon couleur bai, de 1 ans en Mars prochain, ayant la queue longue et la mais pas longue, fertement construit, et marquie str gauche a peu ainsi Une de $100 sera paeye pour sa livraison. Il a de chez M. -F. Pradon, dli mmnie voisinage, un chevalde inggy, coullur bai fonce. Une de $50 sera pour sa livraison.

Adresser au la poste du Pont Breau. OLIVIER BROUSSARD. St. Martin 10 Fevrier 1866. 35-1t A VENDRE.

TNE HABITATION' bien de 832 arpents de terre, Bellevue, Cette habitation consiste en 500 arpents de terre et 300 de terre Trois cents arpens de la terre sont entoures, une partie de laquelle est en culture. Les cons.isterit en une maison de cabannes, magasin et une bonue sucrerie avec un moulin vapeur. pourrait en prendre possession Il trouverait la terre en partie et pourrait faw une pleine recolte cette Un cointrat avec 18 bons travai nts qui travaillent maintenant sur 'ha otion, serait r. Joignant cette habitation rouve une et sways. J.

Wells, Rapidea, et de LafaYette. ftv -4t AVIS. A femme, Mathilda a.M le domicile ns provocation auoume, le public est par averti que je ne serai responsable des dettes pourrait cot tracter sur mion compte. STEPHEN AN St. Landry 27 Janv.

1866. e. 1on Vidrinc. rn d'un ord muanant de la Cour du IIuit District ciaire d(e I'Etat (le la dans et pour la IParoisse St. Landry 't rioi le public est par le 'nit averti qu'il sera vendu en vente pu.

bliqie, au plus offrant et dernier la de ladite dame feu Yacint Vidrine, Ville Plate, en cette Paroisse, par du Encanteur, Le Mardi, 6 Mars prochain, les dependant de la succession de ladite Yacinthe i Vidrine, Veuve de feu Marcelin Garaitd, savoil: UNNE Ville Plate, consistant en une Maison de avec ses ces, et un imorceau de terre mesurant cent cinquante arpents, (plus oiu moinls) au Nord par Mine. Alexandre le chemin i public qui co('iiiit d'Opelousas Ali.xandrie, et par Alexis Latour, an Sud par Onezime Guillory, l'Est par Arcade iGillorv Alexis Latour et le de Ville Plate, et l'Ouest par Pierre. F. Morin. MORCEAU DE TERRE DE PRAIRIE, situe de Ville Plate, dans la susdite Paroisse, mesurant qiatrevingt dix-huit arpents (plus ou moins) dire sept aripents de face sur quatorze de profon.

au Nord par Mariis Corcil et Etienne Couleau, au Sud par McDaniel, Gober et Etienne Couleau, l'Ouest par Mme. Alexande Lazarro, et a l'Est par L. Vidrine. UiE PETITE VACHERIE, courant dans la susdite Paroisse, avec deux marques marquer. quart du prix d'achat payable comptant, et la balaice payable la le ler Avril 1S67, et l'autre le 1er Avril suivant, 1868.

Les reurs fournissant caution solidaire la sa. tisfaction 4d qui de droit; et toute somme portant raison de pour cent par an compter de Et en outre les terres demeurant hypo. la succession jusqu'au paie. ment final et tant du principal que des qui auront pu Les paiements se feront en or ou en argent ou leur en billets du des Etats Unis, entre les mains de M. Hilaire Tate, adininistrateur de ladite succession, son domricile, en cette Paroisse.

LOUIS STAGG, Encanteur. 3 1866. Vente Publique. Succession d'Elmire Guidry. LE Administrateur de ladite successionu vendra en vente publiue par l'interrli ire d'un Encanteur, la de Mme.

Elmire Gui. dry, Plaquemine en la Paroisse St. Landry, Mardi, 27 tevrier prochain, suivantes, savoir: 1 UN Morceau de Terre, mesurant environ cinq cents arpents, partie prairie, partie qM au Nord par la Veuve Guidry, et au Sudfpar Dagiel Lyons. 1378 de 5 chevaux doux; 1 troupeau moutns: 20 de cornes douces; 20 chevalines farouches; Une bonne maison de deux. magasins i mais; une Remise; Cuisine, Cabannes une voiture; une charrette; une marque mar.

quer les animaux; Meubles de mai. son; Ustensils de Cuisine, et beaucoup d'autres articles dont serait trop longue. et chaque adjudi. cation au.dessous de vingt piastres, payable comptant. Et tdute somme de vingt piastres et au-deasua, payable un de un, deux et Itrois ans, compter du jour de la Les fournissant leurs obigations avec caution satisfaction; lesquelles obligations seront faites payables a domicile de l'adminis.

tratetr, et po6tf raison de 8 pour cent par a compter de i rre demeurant final priea et des ERN EST POTIER, 'Administraleur. 27.Janvier 1866. Darby, lbouton Co. SM. Darby; C.

rl Mouton; Ado. A. Mouton. ACTEURS et Marchands ComJ missionnaires GQOarux, No. 11, me Caronleet, Nouvelle Orleana.

n.4rpent et demi de beau plant de cane acre. S'adresser an sous. au Bois Mf '2 Sept. L. D.

VERRET,.

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